Aspharr se dirigeait vers la ville après un repos mérité. Il descendait donc la colline par le chemin qui rellai la forterresse au reste de la cité, en prenant son temps. Asphar, arriver en ville, changea d'apparence grace a un petit sort d'illusion. Il aimait qu'on le laisse tranquille certains moments.
Soudain, il entendi une dispute dans un bar, alors qu'il passait a côté, en ayant entendu prononcé le nom de Orion. Il entra donc a l'interieur de ce bar.
"Cette guerre est en train de nous tuiner! Vous ne voyez donc rien? Tout ca pour que ce sale Seymifer puisse avoir plus de territoire a exploiter! Pour le moment rien n'a vraiment été fait, pourtant les impots son toujours les même que ceux de la guerre totale, ce n'est qu'un moyen pour nous exploiter!"
L'homme était visiblement en colère, mais face a lui se trouvai plein de personne ne partageant pas son avis.
"Tu es trop jeune pour comprendre, tu n'étais pas là lors de l'invasion de Galbadia, mais tout ce que nous savions de nos ennemis, c'est qu'ils avaient ammené un seul vaisseau, imagine en des dizaines! Si nos territoire son séparés, comment pourrons nous faire face alors que les deux chefs de clans se détestent? Il vaut mieux a mon avis, que se soit nous qui gagnons que ceux de Spira"
Aspharr s'approcha du groupe, et les interrompi:
"Pourais-je savoir, s'il vous plait, qui a commencé une conversation pareil? Mettre en cause notre seigneur revien a de la traitrise en temps de guerre. Se qui revien soit dans le meilleur des cas a l'exil a vis, soit a la peine de mort, précéder d'une bonne séance de torture. Toi, le jeune, tu veux vraiment subir un tel sort?"
Le jeune homme qui avait parlé contre Seymifer regarda Asphar et lui répondi:
"Il n'oserai pas faire ca, ca prouverait qu'il est un chef incompétent."
"Ah? Tu crois ca? Je vais te dire la vérité, si Seymifer n'était pas là, toi tu serais en train de faire quoi? tu serais en train de dormir dans la rue. Cette guerre est peut etre horrible, mais elles nous a permis de nous élever socialement et c'est a cause de ca que tu as le droit de parler ainsi. Cependant, je ne permettrais pas qu'on insulte ainsi Seymifer."
Aspharr sorti de la pièce, retournant dans la rue, et changeant d'apparence aussitot.
Le jeune homme, s'était mis a rire, car il croyait a de vaine menaces. Quand soudain, sa poitrine explosa, litteralement, des bouts de ses cotes furent répendu dans la salle.
En temps de guerre, on ne pardonne pas ceux qui mettent la parole du chef en cause.[/b]